Il est un snobisme purulent qui relègue Erik Satie à l'avant-dernier rang, juste devant Clayderman Richard et Rieu André. Idiotie complète. Pour être, c'est ce qu'on lui reproche le plus souvent, minimaliste, le travail de Satie n'en est pas moins savant, puissamment novateur, et, ce qui à nos yeux le consacre pour de bon, tendu vers un universel que seul Passeron Jean-Claude oserait concéder à Rieu André ou Clayderman Richard.
Surréaliste un peu avant l'heure, en attestent ses écrits, les titres de ses morceaux et les notes délirantes apposées sur ses partitions (le fameux "postulez en vous-même" ...), Satie est parlant tout en ne versant, à y bien regarder, jamais dans le vulgaire.
Soit exactement ce qui fait que certains durent et d'autres pas.
Surréaliste un peu avant l'heure, en attestent ses écrits, les titres de ses morceaux et les notes délirantes apposées sur ses partitions (le fameux "postulez en vous-même" ...), Satie est parlant tout en ne versant, à y bien regarder, jamais dans le vulgaire.
Soit exactement ce qui fait que certains durent et d'autres pas.