Il y a, dans cet éloge du "qui bouge", dans la façon dont sont nippés les protagonistes, un petit quelque chose qui sonne Homo festivus, c'est clair. Mais il y a aussi une manière de filmer qui, allez savoir pourquoi, renvoie un peu au néoréalisme, voire, soyons fous, à Pasolini. Ajoutons à cela un brin d'humour, une ligne de basse séduisante, le plaisir jamais las de voir Lisbonne sous son beau jour, et le travail a quelque charme: