"Il vit arriver sur lui le phare, un miroir, qui se multipliait à l'infini. Il ne bougea pas. Résistait la mémoire et s'éparpillait l'homme et s'agrandissait le silence à mesure qu'il ne s'effrayait plus.
Rouge et noir au fond le Carnaval roulait ses caisses, manoeuvrait ses troupes évidemment grotesques et prêtes à jurer sur de nouveaux cimetières."
Dominique de Roux, L'Harmonika-Zug, La Table Ronde, 1963, p. 156